La voie lactée versus Andromède.

Je ne sais pas si la nouvelle a attiré votre attention mais voilà-t-il pas que, mais lisez donc cet article.

Heureusement que Sarko va nous régler ça dès qu'il sera revenu du proche Orient...
Ça ne pourra pas attendre trop longtemps avant que le ciel ne nous tombe sur la tête...

Mais je ne vais pas vous laisser ainsi les bras ballants devant ce qui nous attend si Sarko laisse tomber alors je résume mon analyse de la situation :

Attendu que la Voie Lactée, la galaxie de la Terre, tourne sur elle-même plus rapidement qu'on ne le pensait avec une vitesse de rotation de 161.000 kmh plus grande que ce qui était estimé jusqu'alors (excusez du peu) et que si Sarko n’y met pas bon ordre, la force gravitationnelle de la voie lactée est en réalité assez grande pour que la probabilité de collisions avec Andromède devienne réalisable il faut faire quelque chose rapidement pour que le ciel ne nous tombe pas sur la tête.

En fait le problème est le même que celui qui est posé à un artilleur qui a le cul tendu pour s’entraîner à un concours de pets.
Quand l'artilleur péteur, l’orifice largement ouvert, pousse son pet, celui ci décrit un arc plongeant attiré vers le bas par les forces gravitationnelles qui le tirent vers le bas pour permettre de diminuer la force d'assise nécessaire à chaque particule de pet qui voudrait pousser les effluves toujours plus haut en une courbe toujours plus raide.

Le petit arc au sommet du parcours des effluves gazeuses est destiné à diminuer l'espace de temps où la force gravitationnelle agit dans le même sens que la force d'assise du train avant pour pousser le train arrière vers le centre ,là où chaque particule parfumée doit avoir un grand élan pour atteindre le sommet.

Bien sûr, à l'échelle atomique, l'influence de la gravitation est négligeable sur les particules de pets qui sont très peu massives.

En fait, cette force est cumulative, c'est-à-dire que c'est la somme gigantesque de la gravitation de toutes les particules qui va engendrer la force gravitationnelle sensible à l’échelle de notre postérieur.


Cela n'est possible que parce que la gravitation ne marche que dans un sens : elle attire et ne repousse pas, même si dans le cas étudié elle puisse se sentir (c'est le cas de le dire), cette force ne peut donc que s'additionner contrairement à l'interaction électromagnétique.

Dominante à l'échelle de l'infiniment grand, on parle ici de la voie lactée, la gravitation qui n’est pas mesurable dans le cas des concours de pets redevient importante, voire dominante, aux échelles ultra-microscopiques de l'ordre de 10 puissance - 35 m qui s'appelle la longueur de Planck.

Et nous voilà plongé dans un univers très déroutant où l'espace-temps pourrait être discontinu ou fluctuant. Cet univers était celui des tout premiers instants du Big Bang.
L'infiniment petit et l'infiniment grand semblent ainsi se rejoindre dans le royaume de la gravitation, tel un serpent se mordant la queue...

La théorie quantique imagine que toute interaction doit se faire par l'intermédiaire d'un boson ou particule médiatrice associée à une onde gravitationnelle de très faible fréquence, si faible qu'on ne l'a encore jamais détecté. Mais cet hypothétique boson a déjà été baptisé graviton.

Et voilà la solution que nous pouvons proposer à Sarko, remplissons la voie lactée avec tous les excédents de lait frelaté à la mélamine dont disposent les Chinois et de ce fait ralentissons là ce qui empêchera in fine le lait de tourner.

Sylvain Étiré a écrit:Bien sûr, à l'échelle atomique, l'influence de la gravitation est négligeable sur les particules de pets qui sont très peu massives.

D'où l'intérêt des physiciens du LHC (Large Hadron Collider) pour le boson de Higgs, qui, comme chacun le sait, est cette particule qui en s'agglutinant aux autres comme des fans à leur idole, donne leur masse aux autres particules.